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Marc Barani

Marc Barani

C’est un centre de maintenance pour tramways, son parking relais et sa station terminus qui a séduit cette année le jury de l’Equerre d’argent. Le dernier ouvrage que l’architecte niçois a réalisé pour sa ville, en tenant compte d’une topologie ingrate, lui a valu de recevoir lundi le prestigieux prix d’architecture. À demi enterré, coincé entre une autoroute, ses rampes d’accès et d’imposantes barres HLM, le pôle futuriste de Barani, doté de matériaux nobles et d’ouvertures sur la Méditerranée, a permis de revaloriser un quartier délaissé de la banlieue niçoise. Après les œuvres emblématiques de Nouvel, Portzamparc ou Hammoutène, le Moniteur choisit désormais de saluer l’architecture du quotidien, « celle dont on parle moins mais qui est indispensable à  la recomposition du paysage urbain ». Marc Barani, maître d’œuvre du Pont Renault à Boulogne-Billancourt, avait déjà reçu en début d’année la Grande médaille d’argent d’architecture pour l’ensemble de son œuvre.


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