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Biographie François Périer

François Périer pseudo. de PILLU (François, Gabriel, Marie), Comédien. Décédé(e) le 28/06/2002 (voir toutes les personnalités décédées en 2002)

PÉRIER (François), pseudo. de PILLU (François, Gabriel, Marie), Comédien.
Né le
10 novembre 1919 à Paris.
Fils d'
Henri Pillu, Représentant de commerce,
et de
Mme, née Hélène Michon.
Mar.
le 12 août 1941 à Mlle Jacqueline Porel (3 enf. : Jean-Marie, Jean-Pierre [décédé], Anne-Marie [Mme Michel Sardou]); en secondes noces, le 29 juillet 1949 à Mlle Marie Daems; en troisièmes noces, le 29 mai 1961 à Mlle Colette Boutoulaud

Etudes :
Lycée Janson-de-Sailly et Cours René-Simon à Paris

Carrière :
Elève du Conservatoire national d’art dramatique (classe d’André Brunot) (1937); Interprète au théâtre : les Jours heureux (1938), Une jeune fille savait (1942), les J 3 (1943-46), les Mains sales (1948), Bobosse (1950), le Ciel du lit (1953), le Séducteur (1956), Gog et Magog (1959-63), Tartuffe (1959), la Preuve par quatre (1963-64), Un jour j’ai rencontré la vérité (1967-68), le Diable et le Bon Dieu (1968-70), Ne réveillez pas Madame (1970), le Tube (1974), Equus (1976), Coup de chapeau (1979-81), Amadeus (1982), Tartuffe (1984), Mort d’un commis voyageur (1988), Metteur en scène de Gog et Magog (1959), Johnnie Cœur (1963), Good Bye Charlie, les Sequestrés d’Altona (1965), Chacun sa vérité (1983); Codirecteur artistique du théâtre de la Michodière (1951-65); au cinéma : Premier Bal (1941), Lettres d’amour (1942), la Tentation de Barbizon (1945), Un revenant, le Silence est d’or (1947), Orphée, les Evadés, Gervaise (1955), Je reviendrai à Kandara (1956), les Nuits de Cabiria (en Italie, 1956), Bobosse, le Testament d’Orphée (1960), l’Amant de cinq jours (1961), I Compagni (en Italie, 1962), la Visita (en Italie, 1963), Week-End à Zuydcoote (1964), le Samouraï (1967), Z (1968), le Cercle rouge, Juste avant la nuit (1970), Max et les Ferrailleurs (1971), l’Attentat (1972), Antoine et Sébastien (1973), Stavisky (1974), Docteur Françoise Gailland, Police Python 357 (1976), la Raison d’Etat (1978), la Guerre des polices (1979), le Bar du Téléphone (1980), le Battant (1983), le Tartuffe (1984), Soigne ta droite (1987), Lacenaire (1990), la Pagaille (1991), Voyage à Rome (1992); à la télévision : les Enfants du Palais (1968), Sara (1974), Mazarin (1978), Thérèse Humbert (1983), Jacques le fataliste et son maitre (1984), la Mafia (série, 1984), Enquête sur une parole donnée (1985), Lettres à un jeune comédien (1995).
Œuvres :
Profession menteur (1989, prix Courteline 1990), Mes jours heureux (1994).
Décoration :
Commandeur des Arts et des Lettres.
Distinctions :
prix Réjane (1938), British Film Academy Award (1956), Victoire du cinéma français (1957), Meilleur acteur étranger (1962) au festival de Caracas, Médaille Georges Méliès (1976), Grand prix national du Théâtre (1977), Molière d’honneur (1988).


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